Feline Grey
auteure de fantasy et romance
L’Épopée de Thaïs, tome 1 : La Traversée des épreuves est mon premier roman, issu d’une trilogie de fantasy épique, alliant mythologie, guerre et magie.
L’Épopée de Thaïs, tome 1 : La Traversée des épreuves est mon premier roman, issu d’une trilogie de fantasy épique, alliant mythologie, guerre et magie.
Feline Grey en quelques mots
Attirée par l’écriture depuis l’enfance, c’est en 2021 que j’explore pleinement le pouvoir de ma plume à travers les genres de l’imaginaire et de la romance. C’est à l’occasion d’un concours Fyctia que naît mon tout premier roman : La Traversée des épreuves, le premier tome de L’Épopée de Thaïs.
Janvier 2022
Finaliste du concours Fyctia “guerrière” avec L’Épopée de Thaïs
Ce concours a été les prémices d’une aventure, qui se poursuit encore à l’heure actuelle.
J’ai toujours été attirée par le monde littéraire, par les piles de livres, et rêveuse quand je contemplais à la télé Carrie Bradshaw, les doigts pianotant sur son clavier d’ordinateur. En 2017, pleine de bonne volonté, je décide alors de m’acheter un ebook sur comment écrire un roman. Je construis un plan, élabore mes fiches personnages, et commence l’écriture de ma première romance. Mais voilà qu’au bout de quelques chapitres… Je sèche. Je réalise que l’histoire est fade, molle, et surtout, problème majeur : je n’arrive pas à créer de rencontres entre mes deux personnages. C’est un peu comme s’ils refusaient de se côtoyer. Un peu gênant pour une romance…
J’ai donc laissé tomber, avant d’être de nouveau appelée par l’écriture en 2020, lorsque je découvre la plateforme de concours d’écriture Fyctia. Le thème étant « historique », je pense tout de suite à une histoire avec des gladiateurs. Cette fois, je ne construis aucun plan et décide d’y aller au feeling, puisque le concours commençait dans quelques jours. Je m’installe face à ma page blanche… et celle-ci reste désespérément blanche. Dès lors que j’écrivais une phrase, celle-ci finissait rayée. J’ai donc laissé tomber une nouvelle fois l’idée d’écrire un roman.
En juin 2021, je suis appelée par un nouveau concours Fyctia. La différence, c’est qu’il s’agissait d’un concours de nouvelles. Le format plus court m’a rassurée ; la montagne me paraissait moins grande, moins insurmontable. J’ai fini par publier intégralement ma nouvelle, et j’ai reçu des retours encourageants. C’est ce qui m’a motivée à poursuivre cette histoire. Tout l’été, j’ai continué à poster des chapitres, tout simplement parce que je ne voulais pas quitter cet univers que je venais de créer.
Puis à la rentrée, un nouveau concours de nouvelles est annoncé, dans le genre thriller cette fois.
Je ne suis pas spécialement consommatrice de ce genre, pourtant c’est avec plaisir que je me laisse embarquer dans cet exercice. Si ma nouvelle n’est pas lauréate, elle reçoit néanmoins une mention honorable de la part des éditrices. Je l’interprète comme un signe favorable, m’encourageant à poursuivre dans cette voie, alors que ma vie professionnelle est à ce moment-là plus qu’opaque.
Un nouveau concours est annoncé sur Fyctia (et oui, je devenais carrément accro à la plateforme). Le thème imposé, « guerrière », m’inspire immédiatement. L’idée de créer une revist’ féminine du mythe des 12 travaux d’Hercule sonne comme une évidence. Les recherches s’enchaînent, les heures d’écriture défilent sans que je m’en rende compte. Cette fois, pas de pression, j’écris, et je verrai où cela me mène, peu importe que le roman soit terminé ou non.
J’ignore si c’est cet état d’esprit qui m’a permis de ne pas abandonner ou le mélange stimulant de pression et d’excitation provoqué par le concours – sûrement un peu des deux. Durant cette période, mon quotidien s’est résumé à écrire (beaucoup), à lire (beaucoup) pour découvrir les histoires des autres participants, et échanger avec la communauté. Cela m’a poussée à améliorer mes écrits, à me dépasser à chaque nouveau chapitre publié. Pendant toute la durée du concours, L’Épopée de Thaïs a trôné à la première place et cumule aujourd’hui plus de 28 000 vues !
À l’issue de ces trois mois, je suis épuisée, mentalement, émotionnellement… mais je suis au comble du bonheur : L’Épopée de Thaïs fait partie des 7 textes finalistes sur plus de 250 participations.
Après un mois intense pour terminer et rendre le manuscrit intégral, l’attente des résultats est insoutenable. Lorsque j’ai appris que mon texte, dans lequel j’avais mis toute mon âme, n’était pas lauréat, j’ai versé toutes les larmes de mon corps (j’exagère à peine).
Mais aujourd’hui, je suis tellement heureuse et fière de ce parcours, car je sais que cette expérience a été extrêmement enrichissante et qu’elle m’a permis d’être là où j’en suis maintenant.
Auteure professionnelle.
Tout d’abord, je tenais à adopter un nom de plume pour séparer ma vie personnelle de ma vie professionnelle. Spoiler alert : quand on exerce un métier-passion… il est difficile de conserver cette barrière.
Ensuite, je voulais un nom qui me ressemble, que j’aimerais voir sur les couvertures de mes romans à venir, sans pour autant qu’il soit vide de sens.
Un jour, en navigant sur Instagram, je suis tombée sur un reel posté par LICARES (L’institut des carrières littéraires). Celui-ci, surtout humoristique, dévoilait une méthode simple pour trouver son nom de plume : prendre le nom de votre premier animal de compagnie + la couleur de vos sous-vêtements du jour en anglais.
En faisant le test, j’obtenais Feline Black (bon, en vérité, Féline n’était pas mon premier animal compagnie, mais je me voyais mal m’appeler Glou-Glou ou Zorette… qui étaient les parents de ma minette Féline)
Je n’aimais pas trop la consonance de « black » et je trouvais ça un peu trop commun. J’ai donc remplacé par Grey, qui était aussi la couleur de la robe de ma Féline.
Quand j’ai trouvé Feline Grey, j’ai su.
J’ai su que c’était le nom que je voulais adopter, peu importe que l’idée vienne d’un reel divertissant. Emprunter ce nom, qui me suivrait peut-être durant toute ma carrière, ou au moins pendant des années, serait une belle façon de rendre hommage à ma Féline, aujourd’hui au paradis des chat.
« Écrire, c’est s’offrir un millier de vies. »
Passionnée de romance, je décide d’écrire ma propre version…
Et c’est un gros flop ! 😂 Je ne parviens pas à dépasser quelques chapitres.
Parmi les 250 textes participants, L’Épopée de Thaïs fait partie des 7 textes finalistes.
Soutenue par des professionnels de l’édition et d’autres auteurs, je me lance dans la formation d’écriture LICARES, qui me permet d’en apprendre plus sur le monde littéraire et de réécrire mon premier roman.
Je peux enfin sniffer les pages de mon propre livre !
Spoiler alert : c’est vraiment addictif.
Le petit nouveau rejoint son grand frère !
Et le sniffage de pages peut reprendre.
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Ton cadeau de bienvenue : Reçois les premiers chapitres du tome 1 de L’Épopée de Thaïs !